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"La guerre ne peut être comprise que par ceux qui l’ont connue,

et à ceux-là, il est inutile de la raconter" - Sven Hassel

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"On dit de moi que je conduis ma vie comme un alcoolique paranoïaque atteint de folie suicidaire. Simplement parce que je suis attiré par l'aventure, synonyme d'imprévu, de risque, de mystère et d'adrénaline. Pour me comprendre, il faut avant tout saisir mes motivations, bien peu indulgentes pour l'homme. 

 

Mon attirance pour les zones de combat est un moyen d'exprimer mon rejet d'une société où derrière un discours convenable de tolérance et d'amour, les hommes cachent leur lâcheté, leur peur, leur hypocrisie. Un ordre des choses qui rend les agresseurs plus forts et les bien-pensants plus mous.

 

Voilà pourquoi je me sens attiré par la guerre. Une réaction "d'inadhérence" à la faiblesse des hommes, comme l'inclinaison volontaire du volant pour rompre la ligne blanche. 

 

Partir là où les autres ont peur d’aller. 

 

Il paraît que la guerre finit par ronger l’âme. On s’y blinde. On y devient aussi sauvage que ceux qu’on y côtoie. C’est la pente fatale, la contagion. En tout cas, on ne craint plus de prendre des coups et on les rend."

 

Hubert PICARD

 

 

 

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